Octobre 2016
Le 26ème P’tit déjeuner est servi ! Souriants et motivés, nous sommes invités à réfléchir sur la question fondamentale suivante :
Avons nous besoin de reconnaissance pour exister ?
Des témoignages, qu’ils soient “vidéo” ou livrés de nos amies Annie et Jacqueline, entre autres, mettent l’accent tout d’abord sur la notion de reconnaissance :
Aujourd’hui, bien des personnes peuvent être affublées «d’étiquettes» malgré elles. Leur perception d’elles-mêmes est déformée par le regard impitoyable des autres. Leur estime d’elles- mêmes s’en trouve ébranlée, voire anéantie.
Chercher des signes d’amour, des approbations, des encouragements, coûte que coûte, peut être le seul moyen trouvé pour se sentir reconnu, pour exister.
S’appliquer à coller aux codes sociétaux, afin de gagner une certaine appartenance, une reconnaissance parmi d’autres, semble parfois être la seule solution pour vaincre son isolement... Cette dépendance au regard de l’autre est le signe de notre fragilité, comme une mauvaise réponse aussi à notre solitude, une méconnaissance de notre identité, de nos propres qualités et du sens à donner à notre vie.
Alors, rencontrer Dieu et s’engager dans une relation avec lui semble être la seule solution. Il nous aide à nous libérer du regard de l’autre, tout simplement parce qu’il nous aime particulièrement. Nous existons parce qu’il l’a voulu. Alors, ouvrons donc notre cœur pour accueillir l’amour que Dieu nous offre.
Jean-Luc a sélectionné deux passages de la Bible, parmi tant d’autres, qui expriment tout particulièrement l’amour que Dieu nous porte :
Jean 15.9
“Comme le Père m’a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour. ”
Galates 1.10
“Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ.”
Si nous sommes avant tout des êtres de relation, ayant besoin les uns des autres, sachons trouver le bon équilibre pour avancer.
La seule approbation véritable dont nous avons besoin est celle de Dieu.
Isabelle